dimanche 15 août 2010

811 - Du 14 au 16 sept. Nouarkchott, Aleg, Kiffa, Ayoun puis Diéma au Mali: 1200 km


La décision de prendre les visa à l'ambassade du Mali à NKC est la bonne bien qu'à la frontière il m'a été dit que c'était également possible pour le même prix.... D'après moi, il est plus prudent de perdre quelques heures (2 heures) pour le faire faire à l'ambassade....

Hélas pour moi, mon transit s'était accéléré au matin.... et je me suis senti assez vite fatigué en roulant vers Aleg... J'ai donc pris la décision prudente de m'y arrêter d'autant qu'il faisait chaud et que je ne me suis pas senti assez fort pour arriver à KIFA encore distant de 300 km... Mes compagnons de route ont eux pris la décision de poursuivre ....
Je me suis donc arrêté dans une auberge toute neuve où j'ai payé la même chose qu'à NKC soit 8000 uia et dormi dans sous le climatiseur... Par contre au niveau du repas... rien ou presque ne m'a fait envie (tant mieux, j'ai eu du mal à trouver des "restaurants".
Ravitaillement essence possible... et le lendemain, départ pour KIFFA.

Route sans problème, quelques trous avec des pièges de sable derrière... une gamelle à 10 à l'heure sans conséquence pour moi mais quelques dégâts à ma sacoche gauche.... rien de grave...
Le deuxième soir, halte à AYOUN après avoir ravitaillé en carburant à KIFFA....L'hotel AYOUN est sale, triste, en réfection et cher... mais j'ai dormi et pris une douche au débit de 1 litre par minute... Mon transit était toujours perturbé et ma faim très modeste..... Grosse surprise avec le carburant, les stations sont à sec en essence.... et le ravitaillement ne sera possible qu'à la frontière... C'est donc à l'économie et en faisant confiance à mon carburateur que j'ai pris la direction du sud....
Arrivé à la frontière et aprèa avoir passé de multiples contrôle de police, j'ai fait les formalités dans des baraques.... et trouvé 10 litres qui m'ont permis d'arriver sans problème à NIORO.

La fameuse route de l'espoir qui devait être grandiose.. est passé... Pas de dégats infranchissables à moto ou en voiture.... des gens assez discret, des auberges dont les niveaux sont bien inégaux et aux prix à négocier mais qui restent chers.

Aprés Nioro, direction DIEMA ou j'ai trouvé l'hotel KARTA, le seul de la ville, assez rustique mais avec la gentillesse de l'accueil que c'était un plaisir de s'y trouver. La télé installée dans la cour et tous ensemble à discuter... C'est un endroit ou on peut s’arrêter et se reposer en toute quiétude.... Cela a été ma première nuit au Mali

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